Une partie de l’œuvre gravée, écrite et dansée trouve ses sources dans son histoire comme dans celle du tango.
Ses premiers souvenirs de tango lui viennent de ses grands parents, « Papito et Mamita » partis vivre en Argentine dans les années 1920. Une fois revenus en France, ils lui en transmirent cette passion qui nourrissait leurs rêves comme leur propre vie.
Danser le tango, le peindre et l’écrire, est bien un chemin pour retrouver les sources de son imaginaire, déjà nourri de son rêve d’enfant, comme des paroles du tango argentin, Borges ou Quiroga.
Son travail s’inspire alors également de la femme, du mouvement, de l’émotion de la fusion du couple dans le tango.